Oui c’est bien dommage et je ne suis pas étonné pour cet exercice dans des conditions les plus difficiles :
Pour s’en sortir avec une image à peu près nette… une grande ouverture (1,4 à 2,, éviter les zooms standards, priorité Tv où Av (dépend des habitudes), mise au point en manuel si l’AF patine, une bonne montée en iso où iso-auto (sur les derniers boitiers APSC 1600 à 3200 iso impec, sur les anciens 800) mais on peut aller au-delà, mode rafale éventuel, et surtout shooter en raw avec la possibilité de sous-exposer de 1 à 2 IL à la prise de vue afin de gagner encore 1 à 2 vitesses en développant en postprod (même si l’expo à gauche ajoute du bruit), enfin un petit coup de “débruitage” avec un bon logiciel.
L’automatisme du boitier en Av et Tv où le mode sport sont souvent insuffisants dans les cas limites, il faut prendre la main sur les paramètres sinon point de salut, c’est dans ces cas-là où la technique est notre amie… mais tout cela peut être encore insuffisant (difficile de juger sans les exifs sur la photo).
Reste alors la possibilité de s’amuser en allant à l’opposé… en amplifiant la vitesse lente ce qui peut produire des effets très sympa, une voie à explorer trop souvent négligée.
Je pense que vous avez aborder cela avant la sortie mais vous ne pouviez pas connaitre la lumière sur place.

C’est pour ça que je ne suis pas venue , j’ai pas du tout le matériel adéquate